Sabotage, vandalisme ou autre raison !!!

C'est à cela que je pensais Hervé ! Un trou, un sac de 35 kilos à 4€20, 4 litres d'eau, le planté de poteau et le tour est joué ! Si vous voulez je vous fait ça après le 19.

la manche a air a bien été enlevé volontairement !! je suis allé ce samedi aprem au terrain j ai revissé la manche a air !! si c etait le vent qui avait fait tomber le mat le trou aurait été élargi !! la ce n est pas le cas donc gare aux voleurs !!! faut betonner le pied ca dissuadera les emprunteurs potentiels !!

bref .... ca peut etre aussi l oeuvre de personnes d angevillers qui ne nous aiment pas et qui font ca pour nous emm........ !! a voir ..... si apres ils s en prennent au panneau !!

si vous envisagez de bétonner le pied du poteau sans haubans,le bras de levier que constitue le mât n'empêchera personne,en poussant légèrement dessus,de le faire tomber.

Ce qu j'en dis c'est afin que personne ne travail pour rien,

Allez bon dimanche et si on en choppe un on le pend au mât pour l'exemple
comme çà ils ne recommenceront plus

Gérard

et une moissonneuse ou autre VHL qui voulait passer sans justement la casser!!!!

sauf que les moissonneuses c est au mois d aout !!

dendehet a écrit:

ou autre VHL

une grosse machine!!!!!!!!!!

Denis, ton idée d'engin agricole ne me déplait pas d'autant que j'ai vu dernièrement un tracteur muni de son système d'épandage qui est bien large. Dans ce cas, j'envisage bien l'hypothèse du paysan qui démonte la manche pour pouvoir passer. Sauf qu'il ne la remet pas après son passage et qu'il ne laisse pas un mot sur le panneau.Mais bon... les règles de savoir-vivre.... et comme me le faisait remarquer Philippe notre trésorier pas plus tard que ce matin, il n'y a pas eu ce problème l'année dernière.Au pire, il peut faire le tour par l'autre chemin sans perdre plus de temps.
Peut-être faudrait-il poser la question aux divers paysans qui exploitent le secteur?
Jipé

le mieux,en ce qui concerne les paysans,c'est lorsqu'on les voit, de bien leurs montrer que nous respectons le dur labeur qu'est le leur en les saluant.