merci Philippe,
Ce qu'il y a en commun avec le parapente (ou moteur) et la vie, c'est que lorsque tu traverses de fortes turbulences il n'y a que tes réflexes qui doivent jouer, il n'est plus temps de réfléchir.
Tu adoptes les gestes mille fois recommencés.
Si tu passes les turbulences, tes réflexes t'y ont aidé.
Si tu ne les passes pas, tu aura tout mis en oeuvre pour y parvenir, et il n'est, une fois encore, plus temps de se poser des questions.
Maintenant, rien ne dit que lorsqu'on se trouve dans les fortes turbulences, ce soit agréable à vivre.
Tu vois; la vie c'est pareil.